Federico Alegre
L'autre jour, j'ai lu quelque chose sur les cultures américaines qui font allusion aux dieux reptiliens du ciel.... Même dans les récits contemporains du "Don Juan" de Castaneda, il est fait référence au fait que "...les prédateurs nous ont donné leur esprit".
Peut-être qu'après avoir atterri à différents endroits et asservi les hominidés mâles, ils ont également fait le tour des paroisses pour que celles-ci les vénèrent et leur offrent des sacrifices en paiement de leurs enseignements en mathématiques et en astronomie... qui sait !
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Peter M
Le substrat essentiel de l'identité humaine est la conscience. L'esprit
l'esprit est dilué même dans la phase immédiate du sommeil et disparaît dans le sommeil profond
il disparaît dans le sommeil profond. L'esprit n'est qu'une couche superficielle au service du corps-esprit
du corps-esprit.
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Manuel R
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Enrique Corbellini
"De même que nous ne pouvons voir qu'une partie de notre propre corps, car il y a des zones que nous ne pouvons pas voir (les yeux, le visage, le dos, etc.) et pour les contempler nous avons besoin de la réflexion d'un miroir, de même pour notre esprit nous souffrons de cécité partielle et ne pouvons reconnaître la partie qui nous est invisible (l'ombre) qu'à travers sa projection et sa réflexion dans ce que l'on appelle l'environnement ou le monde extérieur. La reconnaissance nécessite une polarité.
Le reflet, cependant, n'est utile qu'à celui qui se reconnaît dans le miroir : sinon, il devient une illusion. Celui qui regarde ses yeux bleus dans le miroir, mais qui ne sait pas que ce qu'il voit, ce sont ses propres yeux, n'obtient que déception et illusion au lieu de reconnaissance. Certes, le mirage est incroyablement vivant et réel (... beaucoup disent même démontrable), mais nous ne devons pas oublier ceci : même le rêve nous semble authentique et réel, tant qu'il dure. Il faut se réveiller pour découvrir que le rêve est un rêve. Il en va de même pour le grand rêve de notre existence. Il faut se réveiller pour découvrir le mirage. "
Je recommande ce livre, je suis en train de l'écouter et il est très intéressant.
Quand j'aurai le temps, je chercherai ce que les Ummites ont dit à ce sujet dans leurs lettres.
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Peter M
Un extraterrestre comparant un dauphin à un être humain, à votre avis, qui considérerait-il comme supérieur ? Les cinq sens humains ont une gamme de perception très pauvre. Les neurosciences nous montrent la faiblesse du système basé sur la réactivité mentale - excellent pour construire des outils complexes, mais pas pour comprendre la réalité, et encore moins l'environnement biologique. Qu'y a-t-il d'extraordinaire dans l'être humain ? La conscience ; la science et la religion n'ont absolument pas réussi à la définir et sont loin (trop loin, dirais-je) de la comprendre. Il faut se donner la peine de lire Kia Nobre et Ken Wilber pour approcher - au moins un peu - le corpus de la conscience. Oui, nous avons un accès direct à la conscience, mais elle a été détruite par la théologie et le matérialisme. Une vérité évidente est que la compréhension syllogistique du monde doit disparaître si l'humanité veut survivre. Elle est remplacée par la logique formelle moderne et son corpus symbolique dans le cadre d'une homologie bénigne avec l'environnement.
PEINTRE SCULPTEUR
GESTIONNAIRE CULTUREL
"MIGOR
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cobrawalk
Les documents abordent ces questions en proposant des outils d'analyse qui vous aideront à éviter les erreurs qui peuvent résulter d'un manque de réflexion. Je ne discute pas des idées ici, mais seulement du contenu présenté :
- ils expliquent que nous disposons de plus de cinq sens proprioceptifs, outre les plus courants, de nombreux sens invisibles jouent un rôle tout aussi important.
- Ce qui définit l'être humain et le distingue de l'animal, ce sont les quatre facteurs de l'être humain, et au niveau de l'âme, la différence est la liberté, qui donne la capacité de s'enrichir positivement par l'expérience.
- Il existe deux termes de conscience, pour décrire la conscience de Buawa, qui agit nécessairement et a un impact sur le cerveau-conscience
- la logique formelle est bonne pour la vie quotidienne, mais l'ignorance de la logique tétravalente produit de graves erreurs ontologiques
- ce que vous appelez le syllogisme, décrit comme le fait d'ordonner la réalité pour lui donner un sens, est l'action première de la conscience.
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Peter M
*- ce que vous appelez le syllogisme, décrit comme l'ordonnancement de la réalité pour lui donner un sens, est l'action première de la conscience
Tout le corpus de la pensée néoplatonicienne et sa structure syllogistique se situent en dessous de l'esprit et de ses facultés proprioceptives. La conscience se situe au-dessus des facultés mentales. Seuls quelques êtres humains dans l'histoire y ont eu accès.
PEINTRE SCULPTEUR
GESTIONNAIRE CULTUREL
*- ce que vous appelez syllogistique, décrit comme le fait d'ordonner la réalité pour lui donner un sens, est l'action primaire de la conscience.
Tout le corpus de la pensée néoplatonicienne et sa structure syllogistique se situent en dessous de l'esprit et de ses facultés proprioceptives. La conscience se situe au-dessus des facultés mentales. Seuls quelques êtres humains dans l'histoire y ont eu accès.
PEINTRE SCULPTEUR
GESTIONNAIRE CULTUREL
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Cobrawalk
Il y a un truc amusant, par exemple le simple fait de voir des objets constitue une opération mentale de mise en ordre des IU ;
À un niveau plus profond encore, les ontologies déterminent les civilisations, et ces ontologies sont autant de cocons ordonnés.
Elles sont ordonnées par catégories ou par profondeur ; Si on va sur une autre planète, une autre galaxie ou un autre univers, littéralement on visite d'autres ontologies. Pourtant ce ne sont que des choses mentales. Mais on peut en sous-peser les distances qui les séparent...
Au niveau mental la réflexion qui consiste à chercher un ordre peut s'armer de techniques qui permettent justement de casser les ordres connus, par exemple le chronologique en systémique.
Dans la D792-1 il y a une remarque éclairante sur le niveau de conscience sur lequel on peut déplacer le curseur de la conscience (mais si) :
Les normes de conduite sont inévitablement impeccables. N'oublions pas qu'un être avec ces caractéristiques, non seulement atteint un niveau de conscientisation très élevé, mais qu'une nouvelle chaîne d'atomes de krypton lui transfère immédiatement des modèles d'ordonnancement à partir du même pôle cosmologique d'information : WOA. Bien que son libre arbitre atteigne une valeur proche de cent pour cent, il est quasiment imprévisible qu'il adopte des conduites qui violent ces mêmes UAA, qui sont si subtilement engrammés dans son subconscient, et qui affleurent facilement la conscience.
En mettant en lien ceci et les niveaux ontologiques ont peut se dire que Oemmiwoa appartient à une série de classes ontologiques dont les coordonnées seraient 0,0,0,0,1 ; 0,0,0,0,2 ;... :)
Une autre remarque sur la capacité à avoir un vue plongeant sur les syllogismes (pour le dire comme ça), on peut remarquer que le style narratif des documents D est très particulier. Il est parlant de la structure de la connaissance sur Ummo. Il s'agit toujours d'explorer des nœuds de proche en proche sans trop se fier à la façon dont ils sont liés, y compris à travers le temps. C'est pour cela qu'il n'y a pas de discipline vraiment formelle sur Ummo, mais seulement des spécialisations.
Le terme "de proche en proche" est une autre forme de syllogisme.