Après que les Gris ont subi des pertes matérielles et humaines supposément dues à des interventions armées (Cape Girardeau 1941 ? 312-Like 71), ils furent autorisés à contacter les autorités américaines grâce à la "rupture de la stricte politique de non-ingérence" (NR13).
Ils en profitèrent pour prendre de court leurs principaux rivaux et proposèrent un accord de coopération interplanétaire en déclarant venir d'une planète mourante qu'ils seraient, tôt ou tard, obligés de quitter (OT-83). Un processus de colonisation était certainement déjà prévu.
Ceux d'Orion, eux, considéraient depuis longtemps la Terre et d'autres planètes comme des colonies potentielles (312-60) et attendaient l'occasion de s'en emparer. Mais les Gris, en vertu du préjudice subi, purent signer un accord avec "nous" dès 1954.
La Terre échappait à Orion.
En 64, ils réussirent à casser le premier accord en présentant des preuves d'antériorité ciblées qui visaient Israël et le Vatican, qui, grâce à leur influence dans les pays occidentaux, obtinrent l'inclusion de ces "visiteurs sans scrupules" (O6-113) dans un nouvel accord en 66.
Les documents liant Israël à ceux d'Orion (Hébreux/Elohim) leur permirent d'entrer en compétition avec le dominion concurrent, grâce au soutien de l'Amérique judéo-chrétienne et de ses alliés.
Cette alliance expliquerait aussi le choix des pays hostiles à Israël comme la Turquie.
OYAGAA AYOO YISSAALes Gris subirent accidentellement des pertes matérielles et humaines sur le territoire américain dès 1941. Ils utilisèrent ce prétexte pour entrer en contact avec les instances militaires, incriminant leurs activités belliqueuses pour réclamer les dépouilles de leurs congénères. Ce stratagème fut répliqué avec d'autres nations, d'importance géostratégique majeure, sur une très courte période. Ils proposèrent des accords d'échanges technologiques contre l'hébergement d'un grand nombre des leurs. Déclarant venir d'une planète mourante qu'ils seraient, tôt ou tard, obligés de quitter, ils justifiaient ainsi un processus de colonisation déjà planifié.
Suivant ces divers contacts bilatéraux, la politique stricte de non-ingérence des autres visiteurs ne put être maintenue. Ceux qui étaient en mesure de le faire durent aussi entrer en contact pour avertir vos gouvernements du danger de réaliser un accord formel. Malgré ces avertissements, les Gris purent signer un accord avec les USA dès 1954, en vertu du préjudice prétendument subi. La Russie, le Brésil et la Chine s'engagèrent peu après dans la même voie, selon leurs termes propres. Les autres pays contactés refusèrent.
Ceux d'Orion considéraient depuis longtemps la Terre comme une colonie potentielle, attendant l'occasion de s'en emparer. Absents et dans l'incapacité d'agir à ce moment crucial, la Terre leur échappait. Ils ne purent interagir qu'à partir de 1964 et réussirent à casser le premier accord en présentant des preuves d'antériorité. Ces éléments documentaires, initialement non ciblés, éveillèrent l'intérêt d'Israël et du Vatican sur des points historiques précis. Les documents liaient indiscutablement Israël à ceux d'Orlon (Hébreux/Elohim). Ces anciens visiteurs ne pouvant être dédaignés, le soutien officialisé des instances religieuses leur permit d'entrer en compétition avec le dominion concurrent.
Des négociations internationales furent entreprises entre 25 nations terrestres et les émissaires étrangers des deux camps. Le 31 mai 1966, malgré l'opposition de l'USAF, les USA rompirent leur accord de 1954. Les autres pays suivirent. Fin juillet 1966, un nouvel accord international tripartite fut conclu. Cet accord explique en partie la scission de pays hostiles à Israël après visualisation des preuves documentaires fournies.
