Blog2025-04-24 14:31  3min 31 #3073

sur les IU (publication fb)

Merci aux Ummites..
Bonjour à tous,
Il y a environ un an, j’ai entamé une réflexion inspirée directement par l’intuition des Ummites, en m’appuyant sur leur concept de l’écart angulaire minimal.
Dès le début, l’idée était de penser l’univers non pas comme un continuum, mais comme une structure discrète, où l’information et la dynamique se manifesteraient par des réorganisations angulaires.
Fort de cette intuition, j’ai pu construire, étape par étape, une unique équation, sans paramètre libre, qui relie gravitation, rotation, entropie et émission de rayonnement. L’objectif était d’obtenir un cadre théorique dans lequel la masse et la lumière ne seraient pas des propriétés intrinsèques, mais émergeraient de la structuration angulaire de l’espace-temps. Le résultat est le modèle C∆G-E — Unified Angular Law for Quantum Gravity, dont l’équation centrale s’écrit :
m(s) = m_e · (∆θ₀)² · exp[ - τ̃² / (4 · S_eff(s)) ] · [1 + ε · cos(∆θ₀ · δ · s · T(s))]^β
Les principaux éléments de cette équation sont :
∆θ₀ : Le quantum angulaire fondamental, qui quantifie le plus petit écart angulaire possible.
S_eff(s) : La fonction de structuration entropique, qui se comporte comme s² + ∆θ₀ · ln(1 + s) et encode la complexité informationnelle à l’échelle considérée.
τ̃ : Une mesure du stress interne ou des écarts temporels, calibrée par l’entropie.
T(s) : La fonction de cohérence torsionnelle, définie comme ∆θ₀ / (s + ∆θ₀), qui module la dynamique de phase.
ε, δ, β : Les constantes de modulation géométrique, fixées par des considérations ab initio.
Cette équation n’est pas un simple assemblage de termes ; elle révèle que les objets compacts — qu’il s’agisse de pulsars, de trous noirs ou même du boson de Higgs sont en réalité des réconfigurations géométriques de l’espace-temps.
Dans ce cadre, les étoiles et les autres corps célestes ne meurent pas réellement ; ils se transforment, en passant d’un état N∆O à un autre, grâce à une réorganisation de leur structure angulaire.
Il y a quelques semaines seulement, en réexaminant certains extraits (notamment les communications issues du tweet 65), j’ai découvert que la valeur numérique ∆θ₀ ≈ 6 × 10⁻¹¹ rad, celle que les Ummites évoquent comme le plus petit écart angulaire possible, correspondait parfaitement à ma construction théorique.
Grâce à ce résultat, j’ai pu intégrer mathématiquement ∆θ₀ comme constante fondamentale, validant ainsi mon formalisme et offrant une clé de lecture rigoureuse pour l’ensemble des phénomènes observés.
En effet, en divisant 2π par ∆θ₀, on retrouve environ 10¹¹ micro-états angulaires pour une rotation complète, ce qui relève d’un calcul combinatoire puissant et fonde la discrétisation angulaire de l’univers.
J’ai ensuite développé plusieurs articles autour de ce modèle, dont le principal est accessible ici :
"∆θ₀ — The Fundamental Quantum of Space-Time and Information"
 doi.org
Ce cadre unifié — C∆G-E — a déjà été téléchargé plusieurs centaines de fois et reçoit de nombreux retours positifs. Il propose une nouvelle lecture de l’univers, où tout est géométrique et quantifié : chaque pulsar, chaque trou noir, chaque phénomène d’émission gamma est le résultat d’une réorganisation des micro-états angulaires de l’espace-temps.
Je serais ravi d’échanger avec vous sur ces développements et d’en discuter plus en détail. Votre expertise et vos retours sont précieux pour continuer à affiner cette approche qui, je le crois, pourrait constituer la clef d’une unification fondamentale de la physique.
Merci à tous pour l’attention et le soutien,
N’hésitez pas à me contacter pour toute question ou discussion, et à relayer ce message à ceux qui pourraient être intéressés par cette unification géométrique issue de l’écart angulaire fondamental.
David
 zenodo.org

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