Etudes2018-11-25 15:27 @dav  13 min 1125 #1980

J.P. Petit publie de nouvelles lettres Oummaines

Etude de la JPP-3/H25

🇪🇸

 [OAY-Status 26] 200628

La question qui se pose est de savoir si JPP est l'auteur de ce document.
Ici ce sont juste mes notes de lecture.
Ma conclusion semble être que ce document aura pu être rédigé de sorte à incriminer JPP tout en divulguant une information plus susceptible d'intéresser un scientifique que les habituels récipiendaires.

Fautes :
- Waam en minuscules
- anti proton sans trait-d'union
- espaces dans les parenthèses (règles typographiques)
- "rien n'empêche" en début de ligne sans majuscule ni ponctuation
- dans un référentiel" sans majuscule
- usage minimaliste des virgules

sur le schéma 1 j'ai remarqué que les bulles étaient disposées de façon paires et impaires, maladroitement. En tous cas les deux côtés ne sont pas symétriques. Cela ne sert absolument à rien dans le discours, il aurait été plus facile de les copier en symétrie, mais c'est là (et c'est mal fait).

- "Feuillet d'univers énantiomorphe, ou en miroir" ("en miroir" ajoute une information)
- ce qui a permit l'annihilation complète de la matière (à comparer aux données)
- apparition de l'équation du champ d'Einstein
- les notions de temps et de gravité sont relatives variables et dépendent du référentiel dans lequel on se situe.
- je ne comprends pas comment G et c² peuvent évoluer indépendamment pendant que G/c& reste constant
- pour conclure "Einstein a raison, la vitesse de la lumière est bien une constante mais uniquement dans un référentiel donné" : je me demande comment, je ne comprends pas. L'idée est séduisante ce que je lis est illogique.

c'est faux de dire que dans un référentiel 1 on a une vitesse propre, les référentiels étant définis par le ration G/c², l'ensemble des ratios donnant toujours le même résultat (3/1, 0.3,0.1,...)... je ne comprends pas.

Dans la partie 2 : l'univers est une structure en bulles

- introduction du concept de matière faite d'anti-protons et de positrons, mais qui n'est pas de l'anti-matière ("mais de la structure inverse non apparente de la matière"). je trouve cela intéressant. Je comprends qu'il s'agit des mêmes atomes que les nôtres, mais vus depuis une perspective opposée.

Pour autant l'anti-univers est complètement indépendant de ses mouvements, "ils ne sont plus en contact depuis le big-bang et donc paradoxalement ils n'existent plus* de relations dimensionnelles entre eux et rien ne les sépare".
* forçage d'orthographe courante pour signifier un pluriel, dont rien n'est dit.

Partie 3 : "la création d'un champ gravitationnel et de matière par vibration de deux bulles d'un univers A"

=> je n'ai jamais lu cela, et ce n'est pas contradictoire avec ce dont je me souviens. c'est innovant.

- Au moment de la liste de points de ce chapitre, il y a les points 1, 2, 3 sur la page 5, et la numérotation recommence sur la page suivante, sous un autre titre, mais avec presque le même contenu. C'est là que je me suis dit que cette page 6, qui est toute petite et sur laquelle il faut zoomer, me semblait provenir d'une source différente.
J'ai noté en passant l'usage de la typo "Chicago" (qui appartient aux anciens macintosh) ; le document semble avoir été imprimé sur une imprimante laser, un peu chère à l'époque.

Alors, il explique qu'il y a des fenêtres entre les deux univers jumeaux, qui ne sont pas des trous noirs, sont dus à la vibration des cordes* des deux bulles d'univers, ce qui crée de la matière et un champ gravitationnel puissant.
Par ailleurs, la matière s'agglomère et des galaxies se forment avec pour centre de gravité des quasars, des pulsars, et des étoiles à neutron.

*Jpp n'aime pas les cordes

=> c'est absurde de dire que les galaxies ont pour centre de gravité des quasars, pulsars et étoiles à neutron. On comprend qu'il y a "quelque chose", ancré sur des fenêtres entre les jumeaux, qui crée la matière et des galaxies.

Le point 4 (je continue quand même) dit :
"aspiration gravitationnelle de la matière suivant les courbes de vibration ou courbures gravitationnelles avec rejet de matière excédentaire (sous forme de rayonnement gamma * au bilan général du système gémellaire dans le respect de la loi universelle de conservation de l'énergie" **
* (deux espaces)
** (pas de fin de parenthèse)

Je note que "courbes de vibration" = "courbure gravitationnelle". Ce terme "vibratoire" est innovant.

Ensuite il explique, dans le point 5, le cône d'inversion de charge. La matière se transforme en antimatière (tout à l'heure ce n'en était pas) et en ondes gravitationnelles de charge opposée (ça c'est nouveau). Il ne s'agit pas d'un trou noir, ils n'existent pas. "L'étoile implose et dépasse le seuil critique d'instabilité ou d'entropie [il manque un mot] transfère l'intégralité de sa structure et de sa masse dans l'univers gémellaire au travers d'une singularité qui se crée en son centre", où "il n'y a ni matière ni photon ni espace-temps".

"Cette singularité possède une structure hypertorique et non hypersphérique permettant le franchissement du miroir qui sépare la structure gémellaire des deux univers".
=> la notion d'hypertore est nouvelle, et cela me fait penser à l'orientation des jets d'énergie des pulsars (de chaque côté du tore).
l'auteur semble séparer le miroir des deux jumeaux, comme un troisième objet, ce que les anciens docs font aussi en parlant des XOODI.

Dans le point 6, la membrane gémellaire est décrite :
- une membrane interne composée d'anti-particules et d'ondes gravitationnelles négatives
- et une membrane composée de matière et d'ondes gravitationnelles.
=> on apprend que ceux-ci sont logés dans la membrane, et ça conforte l'importance qui y est consacrée dans les docs.

- "La tension de la bulle provoque des irrégularités locales dans la membrane externe se manifestent par la forme irrégulière de certaines galaxies" => il faudrait voir lesquelles. C'est intéressant, les deux parties de la membrane, qui sont chargées de la gravitation dans les bulles, sont disjointes.

- "Ces objets en processus d'effondrement gravitationnel se trouvent brutalement étirés ou dilatés et ne peuvent atteindre le seuil critique de l'inversion de charge du fait des perturbations gravitationnelles occasionnées par l'univers jumeau, ils se contentent alors de générer des concentrations de matière par attraction et rotation gravitationnelles des particules de matière périphérique et de créer des galaxies". => Wouhaou

- Dans la partie "Géométrie euclidienne et non euclidiene" (page 6)

Étrangement le premier paragraphe est écrit depuis la perceptive d'un terrien : "Nous avons élaboré une géométrie basée sur les concepts du point".
=> "Les" concepts ?

"En oubliant simplement* que le point, la droite, le plan ne sont que des abstractions intellectuelles, des outils conceptuels pour tenter de saisir l'univers et en aucun cas des composants mêmes de l'univers".
=> il y a là beaucoup de raccourcis, dans les docs le terme "oublier" commence par une explication de fonctionnement de l'œil, ce qui n'est que le prologue de l'explication complète, selon laquelle c'est le cerveau qui fabrique la réalité. De plus "les concepts du point" (la droite, le plan, etc...) ne sont as considérés comme des composants, sauf à y voir des atomes côte à côte.
*mit en gras

"Dans le modèle les concepts de référence ne sont pas euclidiens"
=> un Oummain aurait écrit "dans notre modèle".

Les 4 points cités ensuite sont très intéressants.
1 - la continuité de l'espace-temps n'est qu'apparente => cela fait référence à un continuum discret
2 - l'univers a une structure gémellaire énantiomorphe => fidèle aux docs ajout de la notion de "structure identique mais inversée", que j'entends comme un apport d'information, ou une précision qu'on aurait dû être capables de déduire nous-mêmes.
3 - l'univers est exclusivement quantique => là, il (l'auteur) apporte une notion selon laquelle les seules particules à violer le principe d'incertitude d'Heisenberg sont celles qui sont situées dans nos dimensions perceptibles.
4 - une distance n'est pas un ensemble de degrés sur une droite mais l'ouverture d'un angle => Ceci, je le troue très intéressant, c'est exactement ce que je cherchais à comprendre à propos des IU, même si l'explication est laconique.

"la distance entre deux univers A et B es un angle, selon la perspective retenue ou le référentiel d'univers dans lequel on se place." => usage d'un référentiel arbitraire ternaire

Définition des 10 dimensions du multivers : c'est juste une reformulation des données des docs, mais en ne laissant aucune place à une autre interprétation.
- 6 dimensions d'espace, 3 dans chaque univers
- 2 dimensions de temps à flèche opposée
- 2 dimensions de courbure angulaire
Pourtant je trouve que ça contrarie l'idée d'une même structure vue de deux perspectives, ce devraient être les mêmes dimensions d'espace et de temps pour les deux univers jumeaux. On aurait aussi pu concevoir des dimensions autres (de masse et d'espace) qui ne sont utiles que dans certains calculs. Enfin il ajoute la notion de dimension à courbure angulaire, capable de devenir torique au lieu d'hypersphérique, "suite à une courbure de l'espace-temps". Je trouve cela innovant.

- Schéma de la structure gémellaire de la matière => en reprenant ce travail le lendemain je me rends compte qu'il y a une cohérence forte et insistance, dans l'usage du terme de structure, la présence du miroir, et encore un ajout d'une notion de "réseau d'échanges photoniques", par lequel transitent les informations de n'importe quel univers vers son jumeau.

- "Les particules ont une double personnalité, à la fois onde et grain de matière en même temps" => cette phrase est connue aujourd'hui mais elle est arrivée à la mode dans les années 2000, et là encore c'était trop innovant pour être dit en face d'un scientifique. Il faut voir que cette expression était extrêmement rare à l'époque, et semble d'inspiration Oummaine.

"Elle possède des propriétés corpusculaires dans un cadre tridimensionnel et des propriétés ondulatoires dans un cadre décadimensionnel". => Ah ! Là on voit bien que le cadre décadimensionnel est celui de notre univers. Et pourquoi pas pentadimensionnel ou tridimensionnel ? Moi je me disais simplement que l'observé dépendait de l'outil.

L'explication qui s'en suit, page 9, est brillante.

"L'échange d'informations sur les positions relatives des électrons corpusculaires au niveau subatomique dans chaque univers s'opère par émission et échanges de photons.
Ces photons sont émis par les électrons sous une forme et une structure ondulatoire qui permet la communication dans une structure de l'espace-temps à dix dimensions.
Ces photons messagers ou virtuels échanges des informations sous forme de données angulaires et tissent un réseau informatif caractéristique d'un faisceau d'angles*.
L'espace est donc maillé ou tissé d'un faisceau d'angles sans position ni matérialité eu sens euclidien du terme. Mais paradoxalement chaque élément du réseau donc chaque angle peut être considéré comme le point d'intersection des dimensions d'un nouvel espace.
Après avoir échangé des informations ou tissé le réseau d'angles les photons informent les électrons sur leurs positions relatives et instantanées, ces derniers peuvent alors poursuivre leur trajectoire corrigée par l'élément informatif échangé en A2 et B2.
"

=> Jpp n'aurait pas pu écrire cela, ça relève d'une capacité à focaliser sur un seul sujet qu'il n'a pas, tout en ajoutant de l'information couche par couche, en reformulant sans cesse les mêmes idées. La véracité de ce qui est dit est non prouvée, c'est purement théorique, alors que c'est écrit avec un ton scientifique.
(note en passant : l'usage minimaliste des virgules)

Il y a ensuite une annotation de renvoi (*) qui semble écrite par JPP :
"Il doit être théoriquement possible d'orienter ces angles afin d'assurer le transfert des particules d'un cadre tridimensionnel dans le cadre tridimensionnel de l'univers jumeau". => c'est très mal écrit. Le "il doit être théoriquement possible" est saugrenu. Si c'est un document d'origine Oummaine, cela voudrait dire "cherchez donc comment on peut faire que ces angles puissent bouger". Si c'était écrit par Jpp, ça voudrait dire qu'il vient de comprendre un truc qui était pourtant clairement écrit dans les docs.

L'explication qui suit, le "comment", est très cohérent avec les autres données.

"En théorie un accroissement du rayonnement photonique provoquant un phénomène d'entropie et d'annulation des forces de répulsions entre neutrons susciterait la création de niveaux de pression suffisant(s) pour provoquer un phénomène local d'effondrement gravitationnel et l'apparition d'une singularité ou col torique projetant le tissu spatio-temporel et son contenu dans l'espace tridimensionnel de l'univers jumeau."

=> déjà à mon niveau je note les expressions précédées de "ou", sans virgule, à la a-vite, et qui pourtant sont très pertinents et qui méritent réflexion. Nomme la singularité "col torique" est très intéressant. Si un humain a écrit cela il n'a pas tenu compte du fait que ça ne décrivait finalement rien d'autre qu'une grosse explosion.

Ensuite il parle de la fameuse théorie des champs unifiés :

"La force gravitationnelle qui régit le big-bang depuis la rupture de symétrie originelle et structure l'univers perceptible en quatre apparentes forces fondamentales : la gravitation, l'électromagnétisme, la force faible, la force forte, qui avec les particules et les anti-particules sont les manifestations éphémères de cette force unique dans un univers quadridimensionnel ou tridimensionnel plus une flèche du temps."

=> le parent des quatre forces fondamentales est appelé "la force gravitationnelle qui régit le big-bang (...) et structure l'univers". Ce ne sont que des "manifestations éphémères", rien de plus n'est dit, c'est frustrant.

Page 10 : "Le vide quantique et ses interactions avec la matière"

Sans que cela ne soit une phrase écrite, le vide quantique (puisque c'est le titre) est un réseau d'échange (puisque c'est le seul texte) :

"Réseau d'angles tissés par les échanges photoniques vecteurs de la force gravito-quantique dans l'espace à dix dimensions et des quatre forces apparentes dans l'espace à quatre dimensions."

Là il s'agit bien de l'introduction d'un nouveau concept, qui n'est ni utile au discours d'un faussaire ni contradictoire avec le reste. Ce concept de "réseau d'échange" est très intéressant car il place des ponts entre les univers jumeaux. Côté cohérence, l'usage des virgules ne s'adapte pas, et surtout il est question d'approfondir un propos qui était préalablement un peu obscur, quand il s'agissait de décliner les quatre forces fondamentales depuis une globale, appelée elle aussi "gravitation", et qui se situe dans la XOODI, cette fois elle est nommée "force gravito-quantique".

Page 11

Il y a un schéma d'IU qui semble vouloir dire que, malgré qu'ils se baladent au hasard, les photons finissent par se croiser en des lieux communs (si j'ai bien compris, ou alors ce conte des pôles attracteurs).

"Il exite un lien étroit, que les scientifiques de OYAGAAA n'ont pas encore perçu, entre la logique tétravalente et la structure du cosmos. Ainsi nous pouvons dire que la masse du cosmos gémellaire est nulle et non nulle."

=> je n'y avait pas pensé, c'est pourtant évident. Le lien avec la tétravalence est toujours évoqué avec un certain aplomb du style "vous ne vous êtes mêmes pas rendus compte que...".
(Note OYAGAAA avec trois A)

"En utilisant cette description primitive que vous nommez équation de champs - une description plus correcte ferait appel à des concepts angulaires et non métriques - le second membre de cette équation devrait comporter la différence de deux termes. Alors les solutions vous engendrez seraient plus conformes aux observations en particulier en ce qui concerne la structure a à grande échelle du cosmos et de la morphologie de certaines galaxies de même qu'un certain nombre de phénomènes que vous avez pu observer et qui déconcertent encore vos spécialistes."

=> Je trouve en dernière analyse qu'il y a là des avancées qui vont bien au-delà des travaux de JPP, et j'estime fort peu probable qu'il en soit l'auteur.

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