Etudes2018-03-27 16:55 2 articles  14 min 2 1742 #1914

Les contingences du BB (D357, GR1-4, D47-3)

Dans la série qui va suivre on va s'échiner à explorer les fondements, la génération et les énonciations possible des UAA.
On prend donc le prisme de "la morale" pour explorer notre compréhension des informations qui nous sont remises par nos amis d'Oumo. &#smile;

1 - L'impact de la connaissance du BB peut avoir une portée légale ou du moins philosophique sur la définition des crimes.

J'aime bien comme le terme "votre cinglée de société" semble venir naturellement dans le flux de l'exposé de la  D357-2 :

Que se passerait-il si votre cinglée de Société terrestre finissait par se consumer dans un épouvantable destruction due aussi bien aux bombes fission-fusion-fission, aux armes à plasma ou à une annihilation chimique?

Les livres, les bandes, les disques-lasers, les manuscrits anciens, les monuments et les cerveaux disparaîtraient peut-être ! (Nous sommes en train de parler de manière métaphorique, puisque n'est pas réalisable une hécatombe qui détruirait si bien la vie humaine sur la OYIAA, qu'elle désintègrerait absolument toutes les traces de votre culture). Mais accordez-nous au niveau de l'hypothèse que cela puisse arriver.

Cela implique-t-il que l'annihilation de l'information codée, annihilerait en même temps toute trace de la culture accumulée pendant des siècles de Réseau Social ?

La réponse est : NON.

Il s'agit ici d'expliquer que la culture sociale n'est pas tant le fruit de l'époque ou de la mode, que le résultat du fonctionnement du BB. Ainsi on peut supposer qu'y siège également la culture des civilisations révolues et oubliées depuis longtemps. Également, si (ou plutôt quand) cette civilisation sera absoute, il n'en restera pas moins les problèmes et les troubles que nous avons créés.
La reconnaissance de l'existence de l'âme (et de son immortalité), et du BB sont de nouveaux motifs de l'évaluation des crimes qui sont commis. Non seulement en sachant cela, "la crainte de l'enfer" stériliserait d'office les actions criminelles qui essaient de façon puérile de rester cachées ou impunies, mais en plus on prendra conscience des conséquences quasi-éternelles des choix de société, sur les comportements.

C'est avec ces critères qu'est régie la morale sur Oumo. C'est à dire que c'est une manière factuelle d'intégrer la notion de long terme, et des conséquences des choix d'une époque. Ils peuvent s'étendre, on le comprend, bien au-delà de cette époque.

Après, se posera la question de la signification qu'il faut donner au terme de "rendre justice", "faire justice", quand l'action à mener consistera à "soigner BB".

Notre justice est critiquée comme étant une sorte de comédie faite par des gens déguisés, qui exigent des compensations financières pour absoudre les crimes. Cette façon de procéder permet d'office de se payer tous les crimes qu'on veut, tant qu'on le peut.

Mais aussi il peut être question d'évoquer la responsabilité de BB dans les crimes sociaux, ou gouvernés à l'échelle sociale. Quel impact a le BB dans les choix qui conduisent à des catastrophes de grande échelle ? Se peut-il qu'il soit contaminé, ou malformé, ou trop précoce ? On sait notamment, par la  GR1-4 que BB subit un apprentissage des lois morales, et qu'ainsi il peut défaillir, et ainsi s'instruire.

L'objectif final n'est pas autre que de rendre compatible TOUTE l'information de TOUTES les BUAWAA au sein de BB pour que n'existent pas des distorsions dans la compréhension lente du WAAM WAAM et dans la reconfiguration permanente de celui-ci.

En tous cas, quand on voit les crimes de masse à répétition qui se produisent dans des écoles américaines, ça fait peur de se dire que probablement, c'est BB lui-même qui "pète les plombs". Et que le problème n'est pas (seulement) celui d'un simple fou qui répète ce qu'il a vu à la télé, mais un reflet de l'état d'esprit de la société. C'est même dangereux de dire cela, car il ne faudrait pas que cela serve à déresponsabiliser le criminel, sur qui la faute retombe en premier lieu.

Les implications de l'existence de BB sur la conduite de la justice devrait nous pousser à trouver des formes plus raisonnables de compensation des crimes, en particulier celle qui consiste à déclencher des plans à grande échelle contre toutes les causes qui y ont contribué. Je ne vois que cela, la mise en œuvre de "tous les moyens" pour empêcher qu'un tel crime ne se renouvelle, qui peut réellement compenser un crime.

2 - Dans la partie suivante, il s'agit de révéler la proéminence de BB dans ce que nous voyons et croyons être "la réalité".

Dans le WAAM tridimensionnel dans lequel nous vivons, les "choses" sont constituées d'IBOZSOO UHUU (I.U.). Une ronce de la Terre ou un IXIISII (animal volant de Ummo) ne sont rien d'autre que des réseaux d'I.U.. Mais, nous pourrions croire que de tels I.U., dans leur réalité extérieure, sont situés dans le même ordre que les points de l'image que capte notre neurencéphale. Il n'en est pas ainsi. Nous captons des angles définis par des I.U. complémentaires. Ce flux ("désordonné") de données arrive au réseau de neurones et c'est celui-ci qui les ordonne en référence à des patrons d'images mémorisées dans B.B. (Ndt: voir les rapports  D59) Dans ce cas, depuis la création du WAAM-WAAM, B.B. agit comme un organe universel générateur de formes et d'images, comme nous le nuançons dans la note 10.

De cette façon, vous pourrez comprendre que les formes que nous voyons, les configurations d'un carré ou la couleur NOOSOEE (verte) d'un arbuste de la Terre, n'existent pas dans le monde extérieur telles que nous les percevons, (mais) seulement dans le B.B., (mais par contre il est certain qu'il existe une relation ou correspondance que vous appelleriez biünivoque entre une couleur (image dans le B.B. et le cerveau) et un quanton électromagnétique photonique de notre WAAAM).

/...

L'ARBRE-QUE-NOUS-VOYONS (Note 8) ou percevons, n'a rien à voir avec l'ensemble structuré d'"iboszoo uu" (particules) qui EXISTE-EN-DEHORS-DE-NOUS.

Je me demandais, il y a longtemps, s'il était raisonnable de penser qu'il y ait aussi des arbres et des forêts sur les autres planètes (comme le stipulait commodément les séries TV où il suffisait d'étalonner les couleurs de façon originale pour faire illusion).
On apprend dès lors que les variations sont relativement faibles (excepté pour les langages qui sont très fortement différents) et en tous cas que les organismes simples sont très similaires ( D99).

Dès lors, quand on voit un arbre, si ce qu'on voit n'est qu'une fabrication du BB (qui ré-ordonne des IU captés dans le désordre) se peut-il que deux êtres appartenant à deux BB distincts voient la même chose, en regardant le même arbre ? Cette question devrait faire pencher en faveur d'un questionnement laissée sans réponse (dans la D357), à propos de la connexion qui peut exister entre les différents BB du WAAM-WAAM.

On apprend aussi dans cette lettre qu'une reconformation considérée comme complète, l'accès à l'information et la contribution au BB n'est aucunement freinée (ce qui ne sera pas le cas de ceux qui auront commit trop de crimes).

"La psyché (B) peut se voir condamnée à subir une "capacité" lente d'utiliser son propre EGO (information codée en son sein) et à ne pas participer à la complexité dense de B.B.."

C'est peut-être pour illustrer cela que dans le schéma tout en bas de la  GR1-4 on peut voir des portes qui ne sont pas ouvertes, et qui conduisent le cheminement de la BUAWA.

C'est à dire que nous avons là un effet de la morale, qui est très intéressant, dans la mesure où elle permet aux nouveaux résidents du BB de contribuer davantage à son avancement. (On imagine très bien la vitesse logarithmique de cette évolution, si au départ l'ensemble des humains vit sans connaissance ni respect d'aucune loi morale. On a d'ailleurs des indices qui évoquent le fait que la grande partie oubliée de notre histoire, vieille de quatre millions d'année, était terriblement difficile, voire même tellement bloquée qu'il aura fallu une intervention aliène sur notre ADN pour produire un bond évolutif).

3 - Le rôle de l'OEMBUUAW (troisième facteur qui définit l'humain) consiste en un élément de frontière entre B et BB.

Comme rappelé dans la  GR1-4, les âmes sont créées "en rang" de façon ordonnée ("une infinité de modèles de conduite exemplaires et statistiques"), au tout début de la création de la Création (mais après avoir tout fini, "le sixième jour" si on veut). Ces âmes sont statiques, incapables de traiter l'information et d'évoluer, et délivrent des schémas comportementaux. Elles sont logées dans un univers de masse et de rayon nuls, où la vitesse de la lumière est nulle, et où il n'y a pas de masse imaginaire ( D731.
Le BB lui, traite l'information, dans un univers de rayon constant et infini. Ces deux univers-limites sont souvent décris comme connexes, bien que situés aux deux extrémités du WAAM-WAAM, qu'est le plurivers. Si elles sont connexes, ce n'est pas une question de distance - on peut se figurer que tous ces univers sont simplement "au même endroit") c'est uniquement grâce à l'OEMBUUAW, qui les met en relation. De cette manière l'âme peut être modifiée et corrigée par l'action du BB, avant à son tour de venir l'enrichir. Elle n'est qu'une "une simple matrice de données gelée".

En fin de compte la relation de l'un à l'autre consiste littéralement à attacher des informations à des affects.

Finalement l'information dans BB est faite de ces âmes dont le rôle est de tisser les liens entre l'information et sa valeur émotive. Je ne sais pas si je l'ai bien exprimé mais cette idée est très pertinente à prendre en compte.

Pour se référer à cela nous avons ce joli schéma de  O6-85 :

On y voit un symbole très intéressant et nouveau, qui n'est ni celui de WOA ni celui de OUMMOWOA, mais celui d'un "humain-WOA", qui au long de son cheminement fini par devenir "émotion pure".

Et sur l'humain (humanisé), on voit la double relation entretenue comme avec l'OEMBUUAW, d'un côté, on va dire, la conduite de la perception (ou l'action sur le réel) et de l'autre, rattaché à BB, la perception émotionnelle de la réalité.

C'est très intéressant de définir l'humain, quand il devient idéal, comme la mise en oeuvre de la relation entre la réalité (toutes les réalités possibles permises par l'AIOODII), et les émotions. C'est intéressant parce que cela procure une définition de la morale, en tant ce qui rattache la réalité avec l'émotion. Pour fixer cette idée il suffit de se figurer l'immoral, quand (dans Saint Matthieu) "le mal s'exerce en riant" ; ou quand le psychopathe prend plaisir dans la souffrance infligée : dans ce cas le crime qu'il commet est de rattacher un acte barbare à une belle émotion, et ainsi de "salir" la beauté de cette émotion, en quelque sorte.

4 - L'itération de l'exercice de la morale dans le système limbique

C'est là qu'intervient une partie très intéressante, quand il est question du système limbique, où loge l'OEMBUUAW, et dont le rôle est précisément celui que nous venons de décrire :

Quand quelqu'un nous humilie, nous ne ressentons pas seulement le stimulus verbal, formé de séquences de phonèmes qui dans cette langue représentent une syntaxe et sémantiquement une insulte. Ce train de mots est entouré d'un halo émotionnel qui affecte le système limbique de l'OEMII ou "siège des affects" du cerveau. Notre cerveau lance alors un "cri" de douleur qui est véhiculé vers l'Âme Collective. En réalité, c'est une séquence de données qui est transférée. De sorte que cette entité accumule toute la charge d'informations composées par des milliers de millions d'expériences affectives correspondant à tant d'autres êtres humains.

/...

Là, elle (l'information portée par la perception, Ndt) est traitée, en même temps que sa réflexion sur les noyaux souscorticaux du système limbique qui associent chaque perception avec un affect émotionnel. Cette information captée et élaborée est également provisoirement mémorisée dans le cerveau.

D'où la question qui se pose, à propos de notre "cinglée de société", qui s'amuse de façon publicitaire à rattacher des affects à des produits, des personnes, ou des parti-pris, dans un désordre cacophonique constant, et des conséquences que cela peut avoir sur le BB, et en retour sur les individus, perdus et hagards, tiraillés par des contradictions douloureuses.

La question est : Et si nous faisons attention aux tissage qui se produit, en permanence, entre l'information (les personnes, les parti-pris) et les affects ? Et réciproquement, ne serait-ce pas une solution, encore une fois, que de simplement savoir ceci, au moment où il est question d'expliquer les comportement ou les croyances irrationnelles des uns et des autres ?

5 - Le code moral sur Oumo

On voit la place qu'ont les normes morales dans la société Oummo, et qu'elles sont inculquées de façon relativement personnalisée, en se référent à des modèles-type de cerveaux bien connus :

 D41-7 :

Nous essayons d'ajuster notre conduite à ce que nous appelons UAA (LOI MORALE). Nous croyons avec certitude en WOA (Dieu ou créateur), et nous savons que son divin UMMOWOA s'incarna comme Jésus Christ le fit pour vous, en nous apportant des normes sages qui, en tempérant la Loi Naturelle, permirent le développement de la Société de UMMO.

Mais notre concept de morale, tout en maintenant l'extraordinaire ressemblance avec celle du Christianisme actuel et avec celle postulée par les moralistes de l'Église Catholique de Rome, présente une structure différente et beaucoup plus flexible. Simplement parce que :

Premièrement : nos WOALAOLOO (théologiens) estiment que la morale évolue avec la société qui se développe.

Deuxièmement : avec des limites déterminées et dignes d'attention, les NORMES MORALES DE L'INDIVIDU sont fonction de leur structure neurocérébrale et physiologique. Ainsi les obligations et droits moraux de chaque sujet varient entre certaines limites, selon leur personnalité psychologique.

Nous ne sommes pas encore arrivés à l'idéal que chaque homme d'UMMO sache avec certitude qu'elle doit être la conduite à suivre pour chaque cas concret et dans chaque état psychologique. Mais nous approchons de l'idéal parce que maintenant, dès l'enfance, nous évaluons la capacité mentale de l'enfant et nous introjectons en lui, lui seul, la portée de ce code moral qui s'adapte à un cerveau type ayant le plus d'analogie avec le sien.

Au final l'action menée socialement en faveur du respect de la morale, ne sont pas "moralisateurs" mais plutôt adaptatifs, ce qui constitue une flagrante différence (par rapport à nous) dans la maîtrise du sujet et de son niveau de complexité.

Cette notion d'adaptativité à son tour peut nous amener à énormément de remises en cause sur notre façon d'appliquer le code moral, et être révélateur des fois où cette application est elle-même une cause d'injustice.

C'est le cadre offert par le soin qu'on veut apporter à son BB qui conditionne, ou accentue le soucis du respect des normes morales.

Car ainsi, quand les affects et les informations sont correctement associés, la personne décédée contribue avec une richesse autrement plus ample au BB.

Cet extrait de la  D41-7 permet d'approfondir un peu plus le fondement de cette adaptativité :

Mais vous-même si vous réfléchissez un peu, vous vous rendrez compte que si chaque homme est une individualité complexe, avec sa propre mentalité et ses traits typiques, et de même que les aliments sont choisis d'une manière variée et discriminante pour chaque personne et que la sélection des lectures est définie pour chaque sujet, il résultera qu'il est aussi absurde de standardiser les règles de jeux en établissant des normes "standard". C'est comme si dans un hôpital qu'il accueille dans ses lits une variété complexe de malades, le directeur, médecin fou, décrétait que tous les patients soient traités à la fois avec une dose spécifique d'insuline, en chronométrant avec une précision maladive l'intervalle d'injection, et en sanctionnant les transgressions des internes.

6 - La finalité des normes morales

 D357

Imaginez le degré de plaisir d'une Âme qui en plus de participer à l'immense information apportée par une humanité (la sienne) et aux secrets cosmologiques de milliers de Cosmos (sûrement en nombre infini) pourrait participer aux singularités spécifiques à d'autres civilisations planétaires ?

Peut-être en est-il ainsi, mais jusqu'aujourdhui, nos scientifiques et théologiens n'ont pas pu arriver à une réponse affirmative.

.../...

WOA peut, si l'homme a respecté les normes morales pendant son existence ou après la correction de sa structure une fois décédé (reconformation), permettre que ce réseau d'I.U. lui offre un flux de communication excessivement plus dense que celui que nous expérimentons dans le cours de notre existence comme êtres vivants dans notre WAAM
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dav 2018-03-27 #903

Notes

- OEMBUUAW : "élément de frontière entre WAAM et BB"
- au moyen du "comportement de la couronne électronique des atomes de krypton"
- Cette séquence d'atomes "présentent un ordre stéréospatial"
les IU [électrons] sautent d'une orbite à l'autre, "d'une orbitale supérieure à une inférieure, suivant une loi périodique".
- l'I.U. peut se présenter sous forme de neutrino, d'électron, "de composant du proton", de proton, de quanton de lumière ou de quanton de temps, selon que ses "axes" sont orientés d'une façon ou d'une autre.
- Un réseau d'I.U. constitue le monde que nous percevons en trois dimensions, plus le temps (également quantifié).
- dans les états de coma l'activité électronique pouvait être assimilée à une fonction sinusoïde pure sans harmonique, et de fréquence élevée.
- chez vous mêmes nous avons pu isoler des réseaux de krypton bien que de répartition spatiale différente.

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ummo 2018-06-18 #967

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